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Fachverlag und Nachrichtenagentur

Patients et partenaires gérent mieux un diagnostic du CaP, si le médecin leur en parle

 

Prostate cancer Vancouver, Seattle – mechentel news – Le diagnostic du cancer de la prostate n’est pas toujours géré de la même façon par les patients venant de l’apprendre. Le groupe de recherche de Vancouver et Seattle dirigé par Lindsay Hedden du “Centre for Clinical Epidemiology and Evaluation” à l’University of British Columbia, Vancouver General Hospital, Vancouver, BC, Canada et Higano CS du Seattle Cancer Care Alliance, à l‘University of Washington, Seattle, WA, USA a examiné la possibilité d‘une réduction des niveaux de stress des patients ainsi que leurs partenaires par une « éducation Session » (ES). D’autres facteurs pouvant influencer les niveaux de stress ont également été examiné. Pour les 71 patientes et 48 partenaires ayant participé à l’étude, l’ES était constituée d’une présentation didactique sur la biologie de la prostate ainsi que la présentation de diverses thérapies et leurs effets secondaires. Cette première partie «Introduction to Prostate Cancer and Primary Treatment Options» avait une durée de 2,5 heures, qui a été suivie d’une consultation conjointe avec un urologue et un radio-oncologue. Le niveau de stress a été évalué au moyen du « Distress Thermometer » (DT). Les auteurs constatent dans leur étude, publiée dans le numéro de novembre 2017 du journal scientifique British Journal of Urology que l’ES a conduit à une réduction significative du niveau médian de stress. Il a été constaté que les partenaires des patients avaient un niveau de stress plus élevé en tout temps (4,9 avant l’ES, 4.2 après EB). Le patient lui-même avait avant l’ES un score de stress médian de 3,8 et après ES 3.1.  Le succès de cette formation complète «similaire à un cours » se reflète également dans l’être subjectif de nouveau le patient, après quoi 98,5% cette méthode recommande. (um)

Auteurs: Hedden L1,2,3, Wassersug R4, Mahovlich S2, Pollock P2, Sundar M2, Bell RH2, Goldenberg L2,4, Higano CS2,4,5. , Correspondance: 1 Centre for Clinical Epidemiology and Evaluation, University of British Columbia, Vancouver General Hospital, Vancouver, BC, Canada. 2 Vancouver Prostate Centre, Gordon and Leslie Diamond Health Care Centre, Vancouver General Hospital, Vancouver, BC, Canada. 3 School of Population and Public Health, Faculty of Medicine, University of British Columbia, Vancouver, BC, Canada., 4 Department of Urologic Sciences, Faculty of Medicine, University of British Columbia, Vancouver, BC, Canada., 5 Seattle Cancer Care Alliance, University of Washington, Seattle, WA, USA., Etude: Evaluating an educational intervention to alleviate distress amongst men with newly diagnosed prostate cancer and their partners., Source: BJU Int. 2017 Nov;120(5B):E21-E29. doi: 10.1111/bju.13885. Epub 2017 May 17., Web: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/bju.13885/abstract;jsessionid=49ABC612E222E5A87A7ED067C7D3D337.f04t02

Commentaire

La composante psychologique face à un diagnostic de cancer joue un rôle important pour les patients, mais encore plus pour leurs partenaires. Il est donc indiqué d’essayer d’impliquer les deux parties lors de l’entretien, car cela peut déjà faciliter la confrontation avec ce diagnostic. Dans cette étude, les patients et les partenaires ont été soumis à une éducation complète, ce qui est probablement difficile en pratique, vue le manque de ressources. Néanmoins, la compréhension du cancer de la prostate peut aider les patients à avoir moins d’anxiété à y faire face. (Cw)